président français
04/02/2012 18:19 par lardjem-louiza-wissem
Ahmed Ben Bella
Né le 25 décembre 1916 à Maghnia, il suit ses études
secondaires à Tlemcen.
En 1937, il effectua son service militaire.
Marqué par les événements du 08 mai 1945,
il adhère au P.P.A. – M.T.L.D. qui le fait élire en 1947
Conseiller Municipal de sa ville.
Il sera responsable de l’Organisation Spéciale (O.S.),
et participe à l’attaque de la poste d’Oran en 1949 en
compagnie de Hocine Ait-Ahmed et de Rabah Bitat.
En Mai 1950, il est arrêté à Alger et condamné, 2 ans plus tard,
à sept (07) ans de prison ; il s’évada en 1952 et se réfugie
au Caire où il a rejoint Hocine Ait-Ahmed et Mohamed Khider
avec qui il formera plus tard la délégation extérieure du Front
de Libération Nationale.
En 1956, il est arrêté une deuxième fois alors qu’il prenait
l’avion qui devait l’emmener du Maroc à Tunis en compagnie
de Bitat, Boudiaf, Ait-Ahmed et Lacheraf. Libéré en 1962,
il participe au congrès de Tripoli où un différent
l’oppose au G.P.R.A.
Il rentre à Alger et le 15 septembre 1963, il
est élu Président
de la République, il est destitué le 19 juin 1965.
En 1980, il fut gracié. Il fonde ensuite, en France, le Mouvement
pour la Démocratie en Algérie (M.D.A.).
Il rentre définitivement en Algérie le 29 septembre 1990.
Houari Boumediène
Mohamed Boukharouba, dont le nom de guerre est Houari Boumediene est né le 23 août 1932 dans la localité de Beni Addi à 15 km de Guelma. Houari Boumediene a poursuivi des études en arabe à l’école coranique et en français à l’école primaire de sa ville. En 1949 il se rend à Constantine où il s’inscrit à la medersa d’El Kettania. Durant cette période, il entame sa vie de révolutionnaire en adhérant au Partie du Peuple Algérien. Il se rendit ensuite, clandestinement à Tunis à l’université de la Zaitouna et enfin au Caire à El Azhar. En 1955, il se retrouve dans la wilaya 5 (Oranie) à la tête de laquelle il est nommé en 1957, avant de prendre le commandement du P.C. d’Oujda, puis le commandement opérationnel de l’ouest et enfin la direction de l’Etat-Major de l’Armée de Libération Nationale. Vice-Président du Conseil et Ministre de la Défense dans le premier gouvernement de l’Algérie indépendante. Le 19 juin 1965, il destitue le Président Ben-Bella et devient Président du Conseil de la Révolution. En 1968, il est élu président en exercice de l’Organisation de l’Union Africaine. Le 24 Février 1971, Il nationalise les hydrocarbures et les moyens de transport. Le 10 décembre 1976, il est élu Président de la République. Il décède des suites d’une maladie le 27 décembre 1978. |
Chadli Ben Djedid
Né le 14 avril 1929 à Bouteldja dans la wilaya de Annaba, Chadli Ben-Djedid s’engage des 1954 dans l’organisation politico-militaire du F.L.N. L’année suivante il rejoint l’Armée de Libération Nationale (A.L.N). En 1956, il est nommé Chef de Région. En 1957, il est désigné au poste d’Adjoint Chef de Zone. En 1958, il est nommé Capitaine Chef de Zone. En 1961, il fait un bref passage au commandement opérationnel de la zone nord. En 1962, il est nommé à la 5ème région militaire avec le grade de Commandant. En 1964,il est nommé à la tête de la 2ème région militaire. Le 19 Juin 1965, il est membre du conseil de la révolution. En 1969, il est promu au grade de Colonel. En 1978, il est chargé de la coordination des affaires de défense nationale, En janvier 1979 il est élu par le 4ème congrès du parti F.L.N. au poste de Secrétaire Général et désigné candidat a la Présidence de la République. Le 7 Février 1979, il est élu à la présidence de la république. En 1984, il est reconduit à la tète de l’état puis réélu en 1989. Au lendemain des événements d’octobre 1988, il engage les réformes politiques. Il est alors élu président du FLN au 6ème congrès du Parti. Juste après son élection pour le troisième mandat, il fait doter l’Algérie en février 1989 d’une constitution garantissant le multipartisme. Le 11 janvier 1992 il démissionna du poste de Président de la République. |
Mohamed Boudiaf
Mohamed Boudiaf est né le 23 juin 1919 à Ouled Madi (Wilaya M’sila). En 1942, il est commis aux écritures au service des Contributions à Jijel. Il adhère au P.P.A. et devient un membre important de l’organisation Spéciale ( O.S ). En 1950, il est jugé et condamné par contumace ; il rejoint la France en 1953 et devient membre du M.T.L.D. Il rentre en Algérie et devient l’un des principaux organisateurs du C.R.U.A. (Comité Révolutionnaire pour l’Unité et Action), membre du groupe des 22 ayant déclenché la guerre de libération. Le 22 octobre 1956 il est capturé avec ses compagnons suite à l’arraisonnement par l’aviation française de l’avion qui les menait du Maroc vers la Tunisie. Le 20 septembre 1962, il fonde le Parti de la Révolution Socialiste (P.R.S.). En juin 1963, il est arrêté et exilé dans le sud Algérien où il reste détenu pendant trois mois puis il rejoint le Maroc. A partir de 1972, il se déplace entre la France et le Maroc en activant pour son parti, le P.R.S. et en animant la revue El Djarida. En 1979, après la mort de Houari Boumediene, il dissout le P.R.S et va se consacrer à ses activités professionnelles en dirigeant à Kénitra au Maroc une briqueterie. Le 14 janvier 1992, après la démission du Président Chadli Ben-Djedid, il devient Président du Haut Comité d’Etat. Il meurt assassiné le 29 juin 1992 à Annaba. |
Liamine Zeroual
Né le 03 juillet 1941 à Batna. A 16 ans, il rejoint les rangs de l’Armée de Libération Nationale (A.L.N.). Il participe à la guerre de libération entre 1957 et 1962. Diplômé de l’école militaire de Moscou et de l’école de guerre de Paris, il exerce différentes fonctions au sein de l ’Armée Nationale Populaire (A.N.P.). · D’abord, commandant de plusieurs écoles militaires (Batna, Cherchell) puis commandant de plusieurs régions militaires (sixième, troisième et cinquième régions), Il devient commandant des forces terrestres en 1989 avant de démissionner en 1990. · Il fut ambassadeur de l’Algérie en Roumanie pendant une courte période avant de quitter ce poste. · En juillet 1993, il est nommé Ministre de la Défense Nationale. Le 30 janvier 1994 il est désigné à la tête de l'état pour assurer la période de transition. 1er président à avoir été élu dans un scrutin pluraliste le 16 novembre 1995. Le 11 septembre 1998, il annonce dans son discours à la nation la tenue d’élections présidentielles anticipées. Il quitte la présidence de la république le 27 Avril 1999. |
Abdelaziz Bouteflika
Né le 2 mars 1937, Abdelaziz Bouteflika milite très tôt pour la cause nationale ; il achève ses études secondaires quand il rejoint L'armée de Libération Nationale (ALN) en 1956. Il est chargé d'une double mission de contrôleur général de la wilaya V en 1957 et 1958. Officier en zone 4 et en zone 7 de la Wilaya V, il est ensuite attaché au PC de la wilaya V, puis, successivement, au PC du «COM Ouest», au PC de l'état- major «Ouest» et au PC de l'état- major général de l'ALN. En 1960, le Commandant Abdelaziz Bouteflika est affecté aux frontières méridionales du pays pour commander le «front du Mali » dont la création entrait dans le cadre des mesures visant à faire échec aux entreprises de division du pays de la part de la puissance coloniale; ce qui lui vaudra le nom de guerre de Si Abdelkader El Mali. En 1961 il entre clandestinement en France dans le cadre d'une mission de contact avec les leaders historiques de la Révolution détenus à Aulnoy. En 1962, Abdelaziz Bouteflika est député à 1 'Assemblée Constituante et devient, à 25 ans, ministre de la jeunesse, des sports et du tourisme du premier gouvernement de l'Algérie indépendante. Il est également membre de l’assemblée législative en 1963, avant d'être nommé, la même année, ministre des affaires étrangères. En 1964 il est élu par le congrès du front de Libération Nationale en qualité de membre de comité central et membre du bureau politique. Abdelaziz Bouteflika prend une part active au réajustement révolutionnaire de juin 1965 qui verra l'instauration du Conseil de la Révolution - dont il est membre - sous la présidence de Houari Boumediène. Reconduit dans les fonctions de ministre des affaires étrangères, il anime, jusqu'en 1979, une action diplomatique qui vaudra à son pays un prestige, un rayonnement et une influence qui établiront l'Algérie comme un des leaders du tiers monde, et, à ce titre, comme interlocuteur recherché des grandes puissances. Il définit ainsi la ligne directrice dont la diplomatie algérienne ne se départira plus par la suite, fondée sur le respect du droit international et le soutien aux causes justes à travers le monde. Diplomate chevronné et reconnu, Abdelaziz Bouteflika impulsera, pendant plus d'une décennie, la politique étrangère qui mène aux grands succès de la diplomatie algérienne, dont le renforcement et l'unification des rangs arabes lors du sommet de Khartoum de 1967, puis lors de la guerre d'octobre 1973 contre Israël, la reconnaissance internationale des frontières de l'Algérie et l'instauration de relations de bon voisinage et de fraternité avec les pays limitrophes, ou encore l'échec de l'embargo contre l'Algérie suite à la nationalisation des hydrocarbures. Elu à l'unanimité Président de la 29ème session de l'Assemblée générale des Nations Unies, en 1974, Abdelaziz Bouteflika obtient la mise au ban par la communauté internationale du régime sud-africain pour sa politique d'apartheid et fait admettre, malgré les oppositions, le leader de l 'Organisation de Libération de la Palestine, feu Yasser Arafat, qui prononcera un discours devant l'Assemblée Générale. Il préside également, en 1975, la 7ème session extraordinaire consacrée à l'énergie et aux matières premières dont l'Algérie était l'un des initiateurs. A la mort du Président Boumédiène, en 1978, et en tant que plus proche compagnon du défunt, il prononce une oraison funèbre remarquée. Mais il devient, dès cette année, la principale cible de la politique de «déboumédiènisation» et est contraint à un exil qui durera plus de 6 années. Il est de retour en Algérie en janvier 1987 et sera signataire de la «motion des 18» consécutive aux événements d'octobre 1988. Il prend part au congrès du FLN en 1989, qui l'élira membre du comité central. Pressenti pour occuper les fonctions de ministre-conseiller du Haut Comité d'Etat, instance présidentielle transitoire mise en place entre 1992 et 1994, puis de représentant permanent auprès de l'ONU, Abdelaziz Bouteflika décline ces propositions, comme il ne donnera pas suite, en 1994, aux sollicitations dont il est l'objet en vue de son accession aux fonctions de chef de l’Etat dans le cadre des modalités et des mécanismes de la transition. En décembre l998, il fait part de sa décision de se présenter, en tant que candidat indépendant, à l'élection présidentielle anticipée d’avril 1999. Abdelaziz Bouteflika est élu Président de la République le 15 Avril 1999. Dès sa prise de fonctions, le président Abdelaziz Bouteflika réaffirme sa détermination à rétablir la sécurité, la paix et la stabilité. A cette fin, il engage un processus législatif de concorde civile, consacré, le 16 septembre 1999, par un référendum qui recueille plus de 98% de suffrages favorables. Le 22 février 2004, Abdelaziz Bouteflika annonce
son intention de se présenter pour un second mandat présidentiel. Fort des résultats positifs de son premier mandat, il mène campagne pour défendre les grands thèmes de son projet de société, notamment la réconciliation nationale, la révision du code la famille, la lutte contre la corruption et la poursuite des réformes engagées |
IIème République
Louis Napoléon Bonaparte
1848-1851
IIIème République
Adolphe Thiers
1871-1873
Patrice de Mac Mahon
1873-1879
Jules Grévy
1879-1887
Sadi Carnot
1887-1894
Casimir-Perier
1894-1895
Félix Faure
1895-1899
Emile Loubet
1899-1906
Armand Fallières
1906-1913
Raymond Poincaré
1913-1920
Paul Deschanel
Février à Septembre 1920
Alexandre Millerand
1920-1924
Gaston Doumergue
1924-1931
Paul Doumer
1931-1932
Albert Lebrun
1932-1940
Réélu en 1940. Il est donc légalement
Président de la République jusqu'en 1946.
IV ème République
Vincent Auriol
1947-1954
René Coty
1954-1958
Vème République
Charles de Gaulle
1958-1965
Elu au suffrage universel direct en 1965
Seconde présidence : 1966-1969
Georges Pompidou
1969-1974
Valéry Giscard d'Estaing
1974-1981
François Mitterrand
Premier septennat : 1981-1988
Second septennat : 1988-1995
Jacques Chirac
Septennat : 1995-2002
Quinquennat : 2002-2007 Nicolas Sarkozy
2007-
Sauriez-vous justifier l’accord des adjectifs de couleur?
Si on écrit des nappes vertes, des stores bleus
et des chandails roses, pourquoi doit-on écrire des
nappes vert pâle, des stores bleu ciel et des chandails citron?
[non datée]
Des nappes vertes
Des stores bleus
Des joues rouges
Des nappes vert pâle
Des stores bleu ciel
Des joues rouge foncé
Des chandails citron
Des stores turquoise
Des joues vermillon
Des chandails roses
Des fleurs écarlates
Des tissus pourpres
GIRODET, Jean (1997). Dictionnaire Bordas des pièges
et difficultés de la langue française, Paris, Larousse-Bordas,
coll. «Les référents», 896 p.
Une seule des phrases suivantes est bien
construite. Laquelle?
A. Elle ne va jamais seule au cinéma, et lui non plus.
B. Il ne sourit jamais et il ne sait rire non plus.
C. Ma sœur ne sait pas nager, et son mari aussi.
La phrase A est bien construite. Les phrases
B et C auraient dû s’écrire ainsi :
B. Il ne sourit jamais et il ne sait pas rire non plus.
C. Ma sœur ne sait pas nager, et son mari non plus.
L’adverbe aussi, qui a le sens de « pareillement »
, s’emploie dans les phrases affirmatives.
Ma sœur sait nager, et son mari aussi.
Dans les phrases négatives, on emploie
ordinairement non plus.
Toi non plus, tu ne supportes pas les lainages?
Je n’aime guère la violence, et ma fille non plus.
Cet enfant non plus ne ramasse jamais ses jouets.
Il faut noter que non plus s’utilise
avec les deux termes de la négation
(ne... pas, ne... jamais, ne... rien, ne... guère)
et non avec ne seulement.
GREVISSE, Maurice (1993). Le bon usage, 13e éd.
rev. et corr., éd. refond. par André Goosse, Paris/Louvain-la-Neuve,
Parmi les noms suivants, lequel désigne
un court texte qu’on place en tête
d’un livre pour y présenter l’auteur et son œuvre?
C. Une notice
Même si les noms notice, préface,
introduction et avis au lecteur
désignent tous de courts textes
introductifs et qu’ils sont parfois
utilisés comme synonymes, dans
les faits, ces textes diffèrent par leur contenu.
Dans la notice d’un livre, l’éditeur présente
brièvement la vie et l’œuvre de l’auteur.
Placée en tête d’un livre, la préface sert
à présenter ce livre au lecteur.
Très souvent, elle est rédigée par
une personne qui n’est pas l’auteur du livre.
L’introduction, généralement écrite
par l’auteur, est un court texte explicatif.
Lorsque le livre contient une préface
et une introduction, la préface précède l’introduction.
L’avis au lecteur est une brève
explication qui attire l’attention
du lecteur sur un point particulier.
Le nouveau petit Robert. Dictionnaire
alphabétique et analogique de la langue
française (2002), nouv. éd., texte rem.
et ampl. sous la dir. de Josette Rey-Debove
et d’Alain Rey, Paris, Dictionnaire
Le Robert/VUEF, xxxvii-2949 p.
Quelle est l’erreur d’orthographe contenue
dans la phrase suivante?
Nous avons besoin d’argent pour aller
en vacances, mais nous ne savons pas
encore comment nous allons nous la procurer.
[non datée]
Le pronom la doit être remplacé par le pronom le.
La phrase devrait s’écrire ainsi :
Nous avons besoin d’argent pour aller
en vacances, mais nous ne savons pas
encore comment nous allons nous le procurer.
Le nom argent est masculin et, en général,
il n’est employé qu’au singulier pour
désigner la monnaie (pièces ou billets de banque).
L’argent volé a vite été retrouvé.
Je garde cet argent pour tes études.
Prends tout l’argent nécessaire.
De nos jours, le terme argents (pluriel)
ne s’emploie plus pour désigner
des sommes ou des crédits.
Comment dépenserons-nous
les sommes (et non les *argents)
destinées à l’éducation?
Ils n’ont pas trouvé les crédits
(et non les *argents) nécessaires
pour financer leur projet.
Le nouveau Petit Robert. Dictionnaire
alphabétique et analogique de la langue
française (2006), 40e édition,
رد الدكتور طارق السويدان حول صحة زواج أبنته ميسون من
'جوناثان براون'حفيد الرئيس الأمريكي الأسبق 'جروفر كليفلاند' [1885
أكد الداعية الكويتي الدكتور 'طارق السويدان' أنه تم عقد قران ابنته
على شاب مسلم يدعى 'جوناثان براون'، حفيد أحد
الرؤساء الأمريكيين السابقين.
تم عقد القرآن في الكويت في وقت سابق من الشهر الجاري
كما أوردت شبكة المعلومات العربية [محيط]، بحضور مجموعة
من الدعاة الكويتيين، بينهم الشيخ 'خالد المذكور'، والشيخ
'أحمد القطان'، والشيخ 'سيد نوح'.
وقال د. 'السويدان': أن الزوج الأمريكي يتحدث اللغة العربية بطلاقة،
ويحضِّر حاليًا لرسالة الدكتوراه حول 'الدفاع عن صحيحي البخاري
ومسلم'. وأشار 'السويدان': إن مباركته لهذا الزواج جاءت لأنه
يعي 'أن الإسلام دين عالمي لا تحده حدود'، مشيرًا إلى الحديث
الشريف للرسول محمد صلى الله عليه وسلم: 'إذا جاءكم من
ترضون خلقه ودينه فزوجوه, إلا تفعلوا تكن فتنة في الأرض وفساد كبير'.
وردًّا على سؤال، قال 'السويدان': إنه لن يطلب من
'جوناثان براون' تغيير اسمه 'لأننا نريد أن يخاطب
الغربيون بني جنسهم بشخصياتهم، وهم أقدر على
نشر الإسلام، فإذا غيروا أسماءهم تحولوا إلى أناس مختلفين'
وعبر 'السويدان' عن استغرابه للاهتمام الصحفي بأمر
زواج ابنته 'ميسون'، معتبرًا أنها قضية شخصية،
ولم يشأ الإجابة على سؤال عن ظروف التقاء ابنته بالشاب الأمريكي.
وينحدر الشاب 'براون' من أسرة الرئيس الأمريكي الأسبق 'جروفر كليفلاند'
Grover Cleveland
وسئل الداعية
ما هي صحة نبأ زواج ابنتك من الشاب
فاجاب
.مع أن هذه قضية شخصية جداً إلا أنني يجب أن أوضح أمرين:
1) بالرغم من كون الرجل أمريكي فإنه يجب أن نفرق بين
أمريكا كحكومة والشعب الأمريكي لا يوجد إطلاق الحكم
على الجميع، لأن في الشعب الأمريكي من المسلمين من
قد يكون أفضل إسلاماً من كثير منا، وهو والحمد له
مسلم متدين يفتخر بإسلامه، وهو أميركي, أصيل, حسيب,
يعرف اللغة العربية ويتقنها قراءة ونطقاًً وكتابة، وقد قال
الرسول صلى الله عليه وسلم: "خياركم في الجاهلية,
خياركم في الإسلام"، وزوج ابنتي هذا حفيد سلالة عريقة.
2) أحاول دائماً أن يكون لأولادي القرار الخاص بهم،
مع التوجيه النصح من طرفنا، وقد تقدم إلينا الشاب الأمريكي
المسلم، فاختبرت دينه وفهمه للشرع، وأيضاً مواقفه من
القضايا العربية كقضية فلسطين, وقضية احتلال الأمة.
. الخ فاكتشفت بأنه في منتهى الصفاء، واختبرته كذلك في
التطرف والتشدد في الإسلام فوجدته عاقلاً متوازناً وما
وجدت عليه عيباً. ووافقت ابنتي عليه بطبيعة الحال.
فاتبعت في ذلك قول الرسول صلى الله عليه وسلم: "إذا
أتاكم من ترضون خلقه ودينه فزوجوه".
الموضوع منقوول من
Associez chacun des noms suivants
à la définition qui convient.
|
|
29 mai 2006
1.-A; 2.-C; 3.-D; 4.-E; 5.-B
La plupart de ces noms possèdent plus d’une signification.
Nous n’avons relevé ici que les significations les plus
courantes permettant de différencier ces homophones.
Notons qu’il faut porter une attention particulière
au genre de ces noms.
air (masculin) : |
Ce nom peut désigner le mélange gazeux que respirent les êtres vivants, l’espace aérien, l’aspect d’une personne ou une mélodie. L’air de cette pièce est vicié. L’air n’est pas son élément favori, il préfère la terre. Elle a l’air bien depuis quelque temps. J’aime les beaux airs d’opéra. |
aire (féminin) : |
Ce nom a pour sens premier « toute surface plane » et a acquis celui d’un « espace plat où nichent les oiseaux de proie »; il peut aussi signifier la « superficie » ou avoir le sens de « région plus ou moins étendue occupée par certains êtres, lieu de certaines activités, certains phénomènes ». On a aménagé des aires de repos le long de l’autoroute. L’aigle apporte sa proie dans son aire. Je ne sais plus comment calculer l’aire d’un triangle. La municipalité aménagera une aire de pique-nique. |
ère (féminin) : |
Ce mot est synonyme de « époque » , mais plus précisément il a le sens de « espace de temps, généralement de longue durée, qui commence à un point fixe et déterminé » ou de « époque qui commence avec un nouvel ordre de choses ». Néron a vécu au premier siècle de l’ère chrétienne. |
erre (féminin) : |
Anciennement, ce terme désignait la manièr d’avancer ou de marcher. De nos jours, c’est un terme de la marine qui désigne « la vitesse acquise d’un navire ». Au pluriel, il peut désigner les traces d’un animal. Coupe le moteur, le bateau continuera sur son erre. Au Québec, l’expression « erre d’aller » signifie « en continuant sur sa lancée » (voir la capsule portant sur cette expression). |
hère (masculin) : |
Le mot hère désignant « un jeune cerf » vient du néerlandais hert alors que celui qui désigne « un malheureux » vient de l’allemand Herr. Il s’agit donc de deux mots différents. Au sens de « malheureux » le mot ne s’utilise plus que dans l’expression « pauvre hère ». |
Dans les phrases suivantes, quel adjectif féminin
est mal orthographié?
17 novembre 2003
L’adjectif féminin mal orthographié est *maline.
La phrase B aurait dû s’écrire : Ma fille, ne sois pas si maligne.
Au féminin, les adjectifs bénin et malin
deviennent bénigne et maligne.
Quant à l’adjectif grognon, il fait grognonne
au féminin, mais il n’est pas rare de le voir employé
au masculin pour qualifier une personne de sexe
féminin ou pour compléter un nom féminin.
Pascale était fort grognon lors de la réunion de ce matin.
Théo a fait une moue grognon à la vue du médicament à avaler.
Les adjectifs qui ont les terminaisons suivantes
ne redoublent pas le n : an, in, un, ain, ein.
Musulman, musulmane; fin, fine; commun, commune;
humain, humaine; plein, pleine; etc.
Les adjectifs qui se terminent en on et en en
redoublent le n au féminin.
Bon, bonne; fripon, friponne; ancien,
ancienne; haïtien, haïtienne; etc.
GREVISSE, Maurice (1993). Le bon usage, 13e éd. rev.
et corr., éd. refond. par André Goosse,
Paris/Louvain-la-Neuve, Duculot, xxxvii-1762 p.
Trouvez l’erreur qui s’est glissée dans les abréviations
du texte suivant.
Faire revenir une échalote dans un peu de beurre et
une cuillerée d’huile d’olive. Quand l’échalote est tendre,
ajouter 20 ml de vin blanc et faire réduire. Ajouter ensuite
50 g de fromage bleu et le parmesan râpé. Quand le fromage
est fondu, ajouter la crème et le poivre. Faire cuire pendant 5 min.
et verser sur les pâtes chaudes.
14 septembre 2004
L’erreur est l’abréviation *min. qui aurait dû s’écrire
sans point abréviatif. On aurait donc dû écrire la phrase
ainsi : Faire cuire pendant 5 min et verser sur les pâtes chaudes.
Les abréviations des unités de mesure s’écrivent
toutes sans point abréviatif :
heure : h minute : min seconde : s |
tonne : t kilogramme : kg gramme : g milligramme : mg |
kilomètre : km mètre : m centimètre : cm millimètre : mm |
litre : l centilitre : cl millilitre : ml |
Ces abréviations sont invariables et se placent après
le nombre entier ou fractionnaire écrit en chiffre.
Un espacement doit être laissé entre la valeur en chiffre et l’abréviation
Le signe décimal est représenté par une virgule.
La valeur numérique doit être précédée d’un « 0 »
si elle est inférieure à un.
VILLERS, Marie-Éva de (2003). Multidictionnaire de
la langue française, 4e éd., Montréal,
Québec/Amérique, xxv-1542 p.